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FSU-SNUTER

Organisation syndicale, regroupant des agents des collectivités territoriales et de leurs établissements publics quel que soit leur métier, leur statut, leur employeur.

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Organisation syndicale, regroupant des agents des collectivités territoriales et de leurs établissements publics quel que soit leur métier, leur statut, leur employeur.

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Organisation syndicale, regroupant des agents des collectivités territoriales et de leurs établissements publics quel que soit leur métier, leur statut, leur employeur.

ACTU A LA UNE

Les associations suspectes et en même temps sous contrôle !

Appel à mobilisation

Nous sommes réunis au sein d’un Collectif national contre le projet de loi « Confortant le respect des principes de la République », projet qui comporte de nombreuses menaces à l’encontre des associations. Animé par la LDH, il réunit de nombreux syndicats et des associations.
Une première tribune est parue fin janvier 2021 dans le journal Le Monde alertant sur les réels dangers du projet pour la vie associative de notre pays (voir la tribune « Ne jouons pas avec la République », https://www.ldh-france.org/le-27-janvier-2021-tribune-collective-ne-jouons-pas-avec-la-republique-publiee-dans-le-monde/ ).
Le webinaire tenu le 2 mars 2021 « Contrat d’engagement républicain, la liberté associative et syndicale menacée » initié par le collectif avec le soutien de partenaires, le Mouvement Associatif et France Nature Environnement (FNE), a permis de mettre en évidence, par des exemples précis, les conséquences négatives voire dramatiques du texte, notamment en matière de contrôle, d’agrément, de subvention, de fiscalité…. (Vous pouvez revoir le webinaire en suivant ce lien : https://www.youtube.com/watch?v=fuRNuroH_hg). Se sont associés depuis Greenpeace et Emmaüs.
Ce projet de loi est une véritable tentative de mise au pas des associations au mépris de la vie démocratique qu’elles symbolisent et de la vitalité sociale qu’elles portent, sans parler des trois millions de salariés et salariées qu’elles emploient.

Afin de renforcer notre dynamique, nous vous invitons à prendre contact entre représentants locaux des membres du collectif pour poursuivre et élargir l’action sur tous les territoires, dans des formes à définir selon les réalités locales. Dans ce cadre, nous vous proposons une action unitaire partout en France en demandant un rendez-vous au préfet courant mars pour exprimer nos inquiétudes et notre opposition sur ce projet.
Merci de nous informer des dates de rendez-vous obtenus pour rendre largement public cette mobilisation nationale avant l’examen du texte au mois d’avril au Sénat.

Assemblée citoyenne des originaires de Turquie (Acort)
Association pour la taxation des transactions financières et pour l'action citoyenne (Attac)
Comité pour le respect des libertés et des droits de l'Homme en Tunisie (CRLDHT)
Confédération général du travail (CGT)
Emmaüs France
Fédération des Associations de Solidarité avec Tou-te-s les Immigré-e-s (Fasti)
Fédération des conseils de parents d'élèves (FCPE)
Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rives (FTCR)
Fédération syndicale univaire (FSU)
Fondation Copernic
Greenpeace
Groupe d'information et de soutien des immigré·e·s (Gisti)
Libre Pensée
Ligue des droits de l'Homme (LDH)
Mémorial 98
Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap)
Planning familial
Sos Racisme
Syndicat de la magistrature (SM)
Syndicat des avocats de France (Saf)
Union national des étudiants de France (Unef)
Union syndicale Solidaires

La CGT île-de-France, FO île-de-France, U île-de-France, Solidaire, UNEF, UNIL

LE GOUVERNEMENT RECONDUIT L’ETAT D’URGENCE POUR AMPLIFIER SA POLITIQUE : GRÈVES ET MANIFESTATIONS S’AMPLIFIENT

Les unions régionales d’Ile-de-France (URIF) CGT FO FSU Solidaires, avec l’UNEF et l’UNL, s’apprêtent à célébrer un funeste anniversaire, un an après le déclenchement de l’ « état d’urgence sanitaire » sans cesse reconduit depuis des mois.

Les URIF constatent que non seulement, le gouvernement n’a fait qu’aggraver la situation sanitaire en ne prenant pas les mesures permettant de combattre la propagation de la Covid-19 depuis mars 2020, mais il profite de la situation pour accélérer la destruction des services publics, à commencer par les hôpitaux et les droits sociaux.

Dans l’Essonne, la fusion de trois établissements hospitaliers (Juvisy, Longjumeau et Orsay) doit aboutir à 600 lits d’hospitalisations en moins. La direction de l’AP-HP vient de confirmer la fusion des hôpitaux Bichat (Paris) et Beaujon (Clichy) dans un « campus » à St Ouen (93), aboutissant à la suppression d’au moins 400 lits et 1000 postes, et fermant de fait deux hôpitaux parisiens, après ceux du Val de Grâce et de l’Hôtel- Dieu.

L’Agence Régionale de Santé (ARS) d’Ile-de-France, quant à elle, vient d’annoncer la déprogrammation de 40% des opérations dans les hôpitaux de la région parisienne, au motif que les services de réanimation sont « dans une situation de tension très forte » : parce que le ministère se refuse à augmenter le nombre de lits en réanimation (1050 lits pour 12 millions de franciliens…), le gouvernement décide que des centaines de milliers de malades ne pourront pas se faire soigner et accuse les soignants et la population d’être responsable de la propagation du virus ! INACCEPTABLE !

Dans la suite de ses réformes antisociales, le gouvernement veut mettre en vigueur le 1er juillet la réforme de l'Assurance Chômage qui était en suspens depuis plus d'une année. Selon l'UNEDIC, 840.000 assurés verront leurs allocations baisser. Cette logique, qui ne fait que creuser les écarts et grossir la précarité, ne laisse aucun doute sur le retour de la réforme des retraites dont la majeure partie des salariés du public et du privé avait rejeté en descendant dans la rue durant l'hiver 2019-2020. Les URIF réaffirment leur exigence de retrait de la « réforme » de l’assurance chômage et de la « réforme » des retraites.

Dans cette situation, les URIF se félicitent de la multiplication des grèves, mobilisations et rassemblements en cours ou à venir en région parisienne, les soutiennent et appellent à les renforcer :

  • les étudiants et salariés de la culture, qui occupent actuellement le Théâtre national de l’Odéon et le Théâtre national de La Colline à Paris, pour exiger notamment la réouverture des lieux de spectacle et la reconduction de l’ « année blanche » ;
  • les agents des services publics territoriaux avec leurs organisations, mobiliser dans toute l’ile de France pour refuser de travailler une minute de plus ;
  • les enseignants, étudiants et formateurs dans l’éducation nationale, soutenus par les fédérations, en grève le 11 mars pour le retrait de la réforme des concours ;
  • les postiers avec leurs organisations, en grève le 16 mars dans plusieurs départements d’Ile-de-France, contre les réorganisations en cours ;
  • les étudiants et lycéens, qui manifestent à Paris le 16 mars pour dénoncer la situation de grande précarité de la jeunesse qui se traduit par une détresse toujours plus forte des étudiants, et exiger la réouverture des universités, la mise en place d’une réelle protection sociale et la fin de la sélection à l’entrée de l’université avec Parcoursup ;
  • les agents des Eaux de Paris avec leurs organisations, en grève illimitée à partir du 17 mars, contre le nonrespect des engagements pris par la Mairie envers les agents exposés aux risques amiante ;
  • les salariés de Roissy avec leurs organisations, qui organisent une « marche pour l’emploi » le 18 mars, contre le plan de la direction d’ADP qui entrainerait jusqu’à 30 000 suppressions d’emplois sur la zone aéroportuaire et dans la sous-traitance.

Les URIF rejette la volonté du Medef de former avec les confédérations un « pacte social » au travers de la mise en place d’un « agenda social et économique autonome » sur 8 thèmes, dont le but inavoué est d’intégrer les syndicats à la mise en place des « transitions » / destructions en matière de formation, de justice prud’homale, de protection sociale ou encore d’emploi. Les URIF condamnent la fuite en avant liberticide de l’exécutif, qui présente actuellement au Sénat ses projets de loi « sécurité globale » et « séparatisme », qui traque et verbalise les jeunes sur les quais de Seine, qui réduit à la portion congrue la liberté de se réunir, jusqu’à fermer la Bourse du travail d’Evry.

Dans ce contexte de politique brutale, les URIF appellent à construire un mouvement d'ensemble dans le public et dans le privé, afin de rejeter la politique du gouvernement et du patronat, pour obtenir :

  • Arrêt des suppressions de postes dans la Fonction publique et des suppressions d’emplois dans le secteur privé !
  • Augmentation des salaires, des traitements et des minima sociaux !
  • Egalité de traitement et de salaires entre les femmes et les hommes !
  • Retrait de la « réforme » des retraites ! Revalorisation des retraites et des pensions !
  • Abandon de la réforme de l’assurance chômage !
  • Rétablissement de la liberté d’expression, du droit à se réunir et du droit de manifester !
  • Retrait de la loi « sécurité globale », de la loi « séparatisme » et des décrets sur le « fichage » !
  • Levée immédiate de l’état d’urgence sanitaire !

Pour toutes ces raisons, les URIF appellent d’ores et déjà tous les salariés du public et du privé à amplifier le combat contre la répression, contre les violences policières et le soutien aux travailleurs sans-papiers, pour la défense des libertés, pour le retrait du projet de loi « sécurité globale » et du projet de loi « séparatisme », en appelant à se mobiliser :

  • MARDI 16 MARS DEVANT LE SÉNAT À PARTIR DE 16H
  • SAMEDI 20 MARS AU DÉPART DE LA PLACE E. ROSTAND À PARTIR DE 13H

Jeudi 11 mars 2021

94Alors que l’engagement des agents publics dans la période de crise sanitaire est salué dans les discours, dans les faits leur statut et leurs conditions de travail continuent à être attaqués de toute part. Gel du point d’indice, sous-effectif chronique, glissements de tâches et polyvalence imposée pour compenser les absences, recrutements gelés, télétravail avec les moyens du bord…
Nos missions sont de plus en plus difficiles à assurer alors que les besoins de la population vont grandissant.

Dans la droite ligne de la loi du 6 août 2019 dite « de transformation de la Fonction publique », à laquelle l’ensemble des organisations syndicales s’est unanimement opposé, c’est désormais le temps de travail qui est dans la ligne de mire de nos employeurs. La loi a en effet annulé tous les accords locaux permettant de déroger à la règle des 1 607 h de travail annuel. Elle oblige ainsi les collectivités à augmenter le temps de travail des agents qui en bénéficient pour atteindre ce fameux seuil de 1 607 h, sans même une compensation financière.

Pour la FSU Territoriale, cette nouvelle attaque sur la Fonction publique territoriale est inacceptable. La crise sanitaire et la crise sociale qui en découle exigent des services publics forts, donc des agents confortés dans leur statut et leurs missions. Travailler plus pour compenser le manque de personnel n’est pas la solution, alors même que les agents territoriaux connaissent en moyenne les salaires les plus bas, y compris par rapport au privé.
Plus que jamais, dans un contexte où les difficultés liées au stress et à l’usure professionnelle sont accentuées, la FSU Territoriale considère qu’augmenter le temps de travail ou supprimer des congés ne peut être ni une réponse au mal-être des agents, ni un moyen d’améliorer le service public.

OBJECTIF 32 HEURES
La conjoncture économique actuelle voit s’envoler les profits du capital au prix des droits des travailleuses et des travailleurs à qui on en demande toujours plus. Les services publics et leurs agents, garants de la cohésion sociale, sont mis sous pression par la précarisation et la paupérisation des salarié.e.s, y compris au sein de la Fonction publique. La réponse du gouvernement, avec la réforme inique de l’assurance-chômage et les dispositions de la loi du 6 août 2019 sur le temps de travail, ne peut qu’aggraver la situation. Dans la période actuelle, La FSU Territoriale réaffirme sa conviction que la réponse à la crise réside dans un meilleur partage du temps de travail et des  richesses.

C’est pourquoi, la FSU Territoriale revendique la baisse du temps de travail à 32 heures par semaine dans le public comme dans le privé, sans perte de salaire. Réduire le temps de travail, c’est en effet lutter contre le chômage, c’est réduire les inégalités sociales et la pauvreté, améliorer la santé des salarié.e.s et donc réduire les dépenses de santé tout en alimentant la protection sociale. Réduire le temps de travail, c’est enfin améliorer la qualité des services publics par une meilleure répartition de la charge de travail des agents.

LA FSU TERRITORIALE REVENDIQUE :

  • Le dégel du point d’indice
  • L’abrogation de la loi du 6 août 2019
  • Des plans de recrutement à la hauteur des besoins dans les collectivités territoriales
  • La titularisation des agents contractuels

La FSU appelle à agir pour le climat en répondant à l’appel de plusieurs organisations de jeunesse les 19 et 20 mars 2021, et à l’appel de l’association des 150 membres de la convention citoyenne pour le climat le dimanche 28 mars.

La crise sanitaire n’a fait que renforcer la conviction qu’urgence sociale et urgence environnementale se conjuguent : c’est maintenant et massivement qu’il faut engager la transition écologique de nos sociétés. Nous faisons nôtres les alertes des scientifiques sur le réchauffement climatique et les atteintes à la biodiversité, leurs causes et les moyens possibles d’y répondre. Il y a urgence à transformer en profondeur nos modes de vie, de consommation et de production. Cela passe notamment par une autre répartition des richesses, des modèles de production et d’échanges guidés d’abord et avant tout par des impératifs sociaux et écologiques.

Alors qu’ils contribuent à la préservation de notre planète et à la mise en oeuvre d’une autre logique de développement, le démantèlement des services publics se poursuit. Plutôt que d’abandonner et de privatiser des missions publiques, de généraliser l’austérité budgétaire, de fermer ou regrouper les services publics implantés sur le territoire national ou encore d’imposer aux collectivités locales de nouveaux transferts de compétences sans moyens – projet de loi 4D – c’est au développement des politiques publiques qu’il faut procéder.

Dans l’éducation aussi, des mesures sont possibles pour favoriser une transition écologique socialement juste : des programmes intégrant une réflexion sur la transition écologique et son accompagnement social, une carte des formations orientée vers les nouveaux métiers, la formation à l’agriculture biologique, à la permaculture, etc… dans des lycées agricoles publics à qui il faut redonner les moyens de fonctionner, le renforcement de la formation à la rénovation énergétique, à l’isolation du bâti, aux matériaux écologiques, aux énergies renouvelables dans les filières du bâtiment, la réalisations de bilans énergétiques et plans d’isolation des bâtiments scolaires, le renforcement des filières locales et bio dans la restauration scolaire. …

Il n’y aura pas de résolution à la crise d’aujourd’hui avec les solutions d’hier. Le gouvernement français vient d’être condamné pour son inaction climatique dans le procès de l’Affaire du siècle. Pourtant, la loi climat proposée par le gouvernement est d’une indigence coupable, dénoncée par les participants à la Convention citoyenne pour le climat, qui appellent à se mobiliser pour faire pression sur les politiques. C’est pourquoi la FSU appelle à rejoindre largement les marches pour le climat et d’y porter nos exigences d’une société plus juste, écologique, solidaire et démocratique.

Les Lilas, le 04 mars 2021

fsu vert

FEMMES essentiELLES, ÉGALITÉ pas optionnELLE

Ces dernières années, des grèves féministes massives se sont organisées le 8 mars, à l’occasion de la journée internationale de lutte pour les droits des femmes, dans certains pays notamment en Europe et en Amérique du Sud. De nouveaux droits ont été arrachés par la force des mobilisations et la détermination des militantes.

Assurer l’égalité salariale et professionnelle

En France, la pandémie et sa gestion calamiteuse par le gouvernement ont mis en évidence une nouvelle fois le rôle majeur des femmes dans les métiers à forte utilité sociale. Elles ont été en première ligne et ont assuré, parfois au prix de leur santé et d’une grande souffrance, la continuité des services publics si cruciaux en termes de cohésion sociale, d’aide aux plus fragiles mais également d’émancipation des femmes. Dans la Fonction Publique, elles représentent 62 % des 5,5 millions d'agent-es dont les conditions de travail, les salaires et le montant des pensions ne cessent de se dégrader. Les femmes sont toujours rémunérées 25 % de moins que les hommes en moyenne. Chaque jour, elles continuent de travailler gratuitement à partir de 15h40. Malgré les mobilisations et la détermination d'organisations syndicales, notamment de la FSU, la reconnaissance de leur engagement ne s’est toujours pas traduite dans les actes.
Au contraire, la loi de transformation de la Fonction Publique accentue encore leur précarité en permettant un recours accru aux contractuel-les.

La FSU demande au ministère de la Fonction Publique et à tous les ministères concernés de mettre en place d’urgence des mesures concrètes, financées par la redistribution et une meilleure répartition des richesses, permettant de gommer les effets négatifs sur la rémunération des femmes (déroulement de carrière, part variable de la rémunération, revalorisation des métiers à prédominance féminine, temps de travail …) et notamment de relever le niveau des pensions des femmes et de trouver des sources de financement supplémentaire pour garantir la pérennité du système de retraite.

Lutter contre toutes les violences sexistes et sexuelles

Alors qu’une femme sur trois déclare avoir été victime de harcèlement sexuel au travail, les outils dédiés à la santé au travail risquent encore d’être amoindris notamment avec la perte de missions des Comités d’Hygiène de Sécurité et des Conditions de Travail en 2022. La prévention des violences sexuelles et sexistes au travail passe par la protection de l’emploi et de la carrière des victimes (aménagement d’horaires, de poste, des congés, la possibilité d’une mobilité fonctionnelle ou géographique choisies, la prise en charge médico-sociale et psychologique des victimes sans frais…). Elle passe aussi par la formation des professionnel-les, des représentant-es du personnel et par des campagnes de sensibilisation sur les lieux de travail.

Alors que près d’un-e français-e sur dix a été victime d’inceste, c’est tout le système qui doit être repensé en profondeur : de la détection, à la protection et à la réponse pénale. L’éducation et l’école en particulier jouent un rôle essentiel dans la détection de ces situations. Le gouvernement doit aller au-delà des déclarations d’intention et modifier la loi pour offrir une véritable protection aux victimes. Il faut notamment renforcer et développer les moyens dédiés au service social, déployer une campagne de sensibilisation à ces violences à destination des élèves et rendre effective l’éducation à la santé, à la vie sexuelle et affective. Des procédures rigoureuses et claires doivent être déployées pour que chaque parole libérée puisse trouver écho dans les actes.

La FSU exige que les plans d’action Egalité professionnelle soient financés à la hauteur des enjeux que représentent l’objectif d’éradiquer les violences sexistes et sexuelles au travail comme l’accompagnement et la protection globale de toutes les victimes et l’égalité professionnelle et salariale.

Parce que l’égalité n’est pas optionnELLE, le 8 mars prochain, la FSU appelle les personnels à se mobiliser et à participer aux actions organisées dans les territoires sous toutes ces formes (grève, rassemblements, manifestations, débrayage…).

Les Lilas, le 04 mars 2021

94

snuter94

SNUTER – FSU
104 Rue Romain Rolland 93260 Les Lilas

! 01 41 63 27 59
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! www.snuter-fsu.fr

 

Communiqué de presse du SNUTER-FSU
Christophe Lebrun, secrétaire général du SNUTER-FSU 59, a été victime le lundi 22 février d’une agression verbale, d’insultes et de menaces physiques de la part d’un élu municipal de la commune de Fâches-Thumesnil.

Une plainte a été déposée et le Maire a été informé des faits et saisi d’une demande de protection fonctionnelle.

Cette agression survenue dans le cadre de l’exercice du mandat syndical de notre camarade est très grave, le SNUTER-FSU la condamne avec la plus grande fermeté. De tels agissements sont inacceptables et nous serons vigilants aux suites qui seront données à cet incident par la collectivité.

Le SNUTER-FSU apporte son soutien à Christophe et à l’ensemble de l’équipe de la FSU Territoriale du 59.

Didier Bourgoin et Hélène Puertolas
Co-secrétaires du SNUTER-FSU

Les Lilas le 23 février 2021