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FSU-SNUTER

Organisation syndicale, regroupant des agents des collectivités territoriales et de leurs établissements publics quel que soit leur métier, leur statut, leur employeur.

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Organisation syndicale, regroupant des agents des collectivités territoriales et de leurs établissements publics quel que soit leur métier, leur statut, leur employeur.

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Organisation syndicale, regroupant des agents des collectivités territoriales et de leurs établissements publics quel que soit leur métier, leur statut, leur employeur.

ACTU A LA UNE

Communiqué de presseFSU u

Alors que l’épidémie de covid-19 s’accélère, les dernières annonces du gouvernement ne répondent pas aux enjeux de santé publique ni aux besoins sociaux d’une population précarisée et appauvrie par la crise sociale et économique.

Les écoles, collèges et lycées semblent enfin être reconnus comme des foyers de contamination mais le « renforcement » des protocoles sanitaires pose question. Avec quels moyens ? Quels personnels ? ATSEM, agents de service, agents techniques, agents chargés de la restauration, secteur périscolaire… les agents territoriaux, tout comme ceux de l’éducation nationale, tentent d’assurer au mieux les protocoles renforcés déjà mis en place sans renfort de personnels. De nombreux collègues sont absents car épuisés, malades ou personnes vulnérables et on ne compte plus les écoles et établissements en sous-effectif. Les personnels présents, qui voient leur charge de travail s’alourdir et doivent prioriser les tâches au détriment de la qualité du service public, s’exposent et exposent d’autant plus les élèves à la contagion.

Au-delà du milieu scolaire, les agent.e.s territoriaux continuent à assurer leurs missions de service public en accueillant les usager.e.s au plus près de leur lieu de vie (mairie, services départementaux, CCAS…) ou en se déplaçant malgré le contexte sanitaire (aides à domicile, portage de repas, soins à domicile, assistants familiaux, personnels des foyers de l’enfance, secteur social et médico-social…). Ces agent.e.s sont au quotidien également exposés au virus et par la même exposent la population.

La FSU Territoriale considère que des mesures urgentes doivent être prises par le gouvernement :

- Abonder les budgets des collectivités territoriales pour leur permettre de recruter les personnels nécessaires à la mise en œuvre de protocoles sanitaires efficaces dans les écoles, collèges et lycées ;

- Elargir le périmètre de vaccination prioritaire à tous les personnels en contact avec le public, quel que soit leur statut ou le versant de la fonction publique où ils et elles travaillent;

- Abroger la loi dite de « Transformation de la fonction publique » et ses dispositions régressives sur le temps de travail : la priorité est aux recrutements et non à l’allongement du temps de travail

Les Lilas, 30 mars 2021

des annonces …. Et maintenant, vite des actes

Le président de la République a annoncé que les enseignantes pourraient être vacciné-es à partir de « la mi fin avril » , comme personnels pouvant bénéficier d'une forme de priorité. Enfin ! Par la même occasion, Emmanuel Macron reconnaît enfin que les personnels étaient, par leurs conditions d'exercice, particulièrement exposés au Covid 19. Chose que Jean Michel Blanquer n avait jamais daigné faire jusqu ici ! Il était temps ! La FSU intervenait depuis plusieurs mois auprès du ministère pour accélérer la vaccination de tous les personnels qui travaillent sur les lieux scolaires, et pas uniquement des enseignantes.

Maintenant, cette annonce doit se traduire dans les actes. La FSU ne pourra se contenter d'un vague calendrier évoquant « la mi fin avril » comme possible date de début de vaccination. Il faut un calendrier ferme, une date claire et rapide de début de vaccination des modalités précises d'accès à la vaccination et des garanties pour que les personnels soient pris en charge au mieux s'ils devaient subir un arrêt de travail (sans jour de carence). Tous les personnels travaillant dans le service public d'éducation doivent être concernés, ce qui inclut aussi les personnels qui interviennent auprès des enfants et des jeunes à différents moments de la journée : transport scolaire, accueil, ATSEM, restauration, activités périscolaires...

La FSU lance une pétition https://la petition.fr/campagne de vaccination urgence pour demander qu un plan de vaccination soit établi dès maintenant. En 24 heures, cette pétition a déjà recueilli plus de 10 000 signatures.

Maintenir ouverts les écoles, les collèges, les lycées est notre préoccupation à toutes et à tous! Ceci ne peut pas se faire au détriment de la santé des personnels, des élèves et de leurs familles. Les solutions existent : tests massifs; moyens pour les remplacements; aération des salles; mesures pour la cantine; diminution des effectifs dans les classes; redéfinition des cas contacts et de la règle de fermeture des classes; recrutement de personnels pour renforcer la désinfection des écoles et établissements scolaires, etc mais elles n ont jamais été vraiment mises en oeuvre par le gouvernement.

Emmanuel Macron reconnaît que nos professions sont exposées et que des efforts nous sont demandés.

Dans cette 3 ème vague, il faut protéger l école , ses personnels et les élèves.

Les Lilas le 24 mars 2021 Vaccination des personnels

La FSU, dans le cadre d'une large intersyndicale de l'éducation, appelle les personnels AESH à la grève le 8 avril


 

 Pour des augmentations de salaire Contre la précarité, contre les PIAL 

En réponse à l’obstination du ministre qui refuse de s’engager vers une amélioration des conditions d’emploi des AESH et en réponse à la dégradation de leur mission depuis la création des PIAL, les organisations CGT éduc’action, FNEC-FP-FO, FSU, SNALC, SNCL-FAEN, SUD éducation appellent les personnels à la grève le 8 avril.

Le ministre répète que l’inclusion scolaire des élèves en situation de handicap est une priorité de son ministère. Pourtant, il fait le choix de maintenir dans la précarité les 110 000 AESH qui jouent un rôle essentiel dans l’accompagnement de la scolarité de ces élèves.
Malgré la promesse faite il y a un an d’engager un chantier sur le temps de travail et la rémunération, les AESH continuent de subir des temps de travail incomplets, pour 24 heures de travail hebdomadaires, soit 60% en moyenne, pour un salaire net de 760 euros par mois. Donc en-deçà du seuil de pauvreté !

À défaut d’un cadre d’emploi reconnaissant leurs missions, ils et elles sont condamné- e-s à exercer sous contrat, sans pouvoir accéder à un statut leur assurant une garantie d’emploi, de carrière et de formation. On est encore loin d’un véritable métier.

La mise en place des PIAL a considérablement dégradé leurs conditions de travail, puisque les AESH sont désormais appelé-e-s à intervenir dans plusieurs écoles ou établissements scolaires, à multiplier les accompagnements d’élèves. Ces services partagés demandant plus d’adaptabilité et de flexibilité, nuisent à la qualité de l’accompagnement, conduisant à du saupoudrage. Il s’agit surtout d’augmenter le nombre d’élèves accompagné-e-s en conservant le même nombre de personnels !

Un système perdant pour tous : AESH, élèves, enseignant-e-s et la réussite du service public d’éducation !
Nos organisations syndicales ont alerté l’administration de la situation alarmante des AESH à tous les échelons. L’exaspération, le sentiment d’abandon et la souffrance s’expriment partout et se traduisent par des mobilisations très suivies dans les départements, en particulier depuis la mise en oeuvre des PIAL.

Pour nos organisations, il y a urgence à :

  • engager une revalorisation des salaires et la possibilité de contrats à temps complet pour permettre aux AESH de vivre dignement de leur travail :
  • l’abandon des PIAL et de la politique de mutualisation des moyens
  • créer un véritable statut de la Fonction Publique pour reconnaître le métier d’AESH
  • recruter massivement des AESH pour permettre aux élèves ayant des notifications d’être accompagnés à hauteur des besoins

Le sort réservé aux AESH est le symbole d’une politique de paupérisation qui touche l’ensemble des personnels depuis 10 ans.

Les syndicats CGT éduc’action, FNEC-FP-FO, FSU, SNALC, SNCL-FAEN, SUD éducation :

  • soutiennent tous les rassemblements appelés dans les départements le 24 mars ;
  • appellent tous les personnels AESH à faire entendre leurs revendications à l’occasion d’une journée de grève nationale le jeudi 8 avril ;
  • appellent tous les personnels de l’Éducation nationale à se joindre à cette mobilisation, à participer à cette grève au côté des AESH pour faire valoir l’ensemble des revendications en défense des postes, des statuts, des salaires en direction des IA-DASEN, des rectorats et du ministère.

... l'emploi et les missions publiques

Si la crise sanitaire a de nouveau confirmé le rôle irremplaçable de la fonction publique et de ses agent·es, force est de constater que, pour l’essentiel et en dépit de discours lénifiants, le pouvoir exécutif poursuit sa politique libérale néfaste aux services publics.
Certes, contraint par la situation que nous traversons, il a fait quelques concessions par le biais de mesures permettant certaines améliorations.
Mais enfin, celles-ci demeurent parcellaires, quand elles ne sont pas source d’iniquités.
Surtout, sur nombre d’enjeux fondamentaux, le président de la République et le gouvernement maintiennent un cap gravement préjudiciable à la fonction publique.
Cela se traduit notamment par :
– La mise en oeuvre de la loi de transformation de la fonction publique attentatoire à la démocratie sociale, porteuse d’accroissement de la précarité, d’allongement de la durée du temps de travail et, plus globalement, qui remet en cause le statut général ;
– Le maintien et même l’aggravation de restructurations lourdes de danger pour les missions publiques ;
– La prolongation insupportable du gel de la valeur du point entraînant une perte de pouvoir d’achat inédite et un « rendez-vous salarial » dont la date, inconnue, semble s’éloigner chaque jour un peu plus ;
– Plus largement, des budgets 2022 qui se préparent sous le sceau de l’austérité avec, entre autres, de nouvelles suppressions d’emplois au programme.
Tout cela est absolument inacceptable !
C’est pourquoi, les organisations syndicales CGT – FA-FP – FSU - Solidaires souhaitent construire et élever le rapport de force pour qu’une tout autre politique soit mise en oeuvre.
C’est en ce sens qu’elles appellent à faire du 6 avril prochain une journée d’interventions et d’actions sous toutes les formes.
Cette étape transversale dans le processus de mobilisation sur les trois versants de la fonction publique pourra se traduire par des interpellations des élu·es et des préfets, des rassemblements, la grève partout où elle sera possible, des motions, etc.

À cette occasion, ensemble nous revendiquerons :
››› L’abrogation de la loi portant transformation de la fonction publique avec le maintien et le renforcement des commissions administratives paritaires et des comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail ;
››› La défense et le renforcement du statut général des fonctionnaires fondé sur les principes d’égalité, d’indépendance et de responsabilité garantissant aux citoyen·nes et aux usager·es la mise en oeuvre d’un service public impartial ;
››› L’octroi dans les projets de lois de finances et de financement de la Sécurité sociale 2022 des moyens budgétaires nécessaires à l’accomplissement effectif de toutes les missions dévolues aux trois versants constitutifs de la fonction publique et à la mise en oeuvre de services publics de pleine compétence et de proximité implantés sur l’ensemble du territoire y compris en Outre mer ;
››› L’arrêt des suppressions d’emplois, la mise en oeuvre d’un plan pluriannuel de recrutement de fonctionnaires, la titularisation des agents non titulaires ;
››› Le dégel immédiat de la valeur du point d’indice, la revalorisation significative des traitements, des salaires, des pensions et des retraites, l’égalité salariale entre les femmes et les hommes et la revalorisation des filières à prédominance féminine. C’est dans ce sens que nos organisations syndicales réitèrent leur demande d’ouverture d’une négociation salariale dans la fonction publique ;
››› L’égalité dans la fonction publique et la fonction publique comme outil de l’égalité au sein de la société.

D’autres choix sont nécessaires et possibles !
Partout où c’est possible, nos organisations appellent à construire aussi cette première journée de mobilisations avec les citoyen·nes, les usager·es, les associations, les élu·es, qui luttent pour la défense, la reconquête et le développement des services publics et de la fonction publique.
D’autres organisations syndicales de la fonction publique sont en cours de réflexion pour appeler les personnels à l’action. Nos organisations sont favorables à un tel élargissement et sont disponibles pour y concourir.

Le 6 avril 2021,
Ensemble, dans l’unité et la convergence la plus large, personnels de la fonction publique, citoyen·es et usager·es

AGISSONS ET PROPOSONS UN AUTRE AVENIR POUR LA FONCTION PUBLIQUE !

Paris, le 16 mars 2021

 

Paris, le 19 mars 2021

Face aux multiples attaques et menaces qui s’abattent sur l’UNEF, nos organisations s’insurgent contre l’acharnement et la démesure des attaques d'une rare violence qui visent une organisation syndicale mobilisée pour la jeunesse et les étudiant-es en grande difficulté dans cette période de crise sanitaire.

Nous condamnons les attaques initiées par l’ancien ministre de l’intérieur, Christophe Castaner, et l'escalade à laquelle se livrent la droite et l’extrême droite faisant peser sur les dirigeant-es de l’UNEF des risques inconsidérés.
Nous dénonçons la montée de la criminalisation de l'action syndicale et les mesures et projets de lois liberticides imposées par ce gouvernement.

Cette politique qui vise à stigmatiser et à réprimer les organisations représente des atteintes graves aux libertés publiques. Nos organisations ne se laisseront pas intimider et continueront sans relâche à s'organiser pour défendre toutes celles et tous ceux qui subissent les inégalités.

MOBILISONS-NOUS POUR LES SALAIRES, L’EMPLOI ET LES MISSIONS PUBLIQUES

Si la crise sanitaire a de nouveau confirmé le rôle irremplaçable de la fonction publique et de ses agent·es, force est de constater que, pour l’essentiel et en dépit de discours lénifiants, le pouvoir exécutif poursuit sa politique libérale néfaste aux services publics.
Certes, contraint par la situation que nous traversons, il a fait quelques concessions par le biais de mesures permettant certaines améliorations.
Mais enfin, celles-ci demeurent parcellaires, quand elles ne sont pas source d’iniquités.
Surtout, sur nombre d’enjeux fondamentaux, le président de la République et le gouvernement maintiennent un cap gravement préjudiciable à la fonction publique.

Cela se traduit notamment par :

– La mise en oeuvre de la loi de transformation de la fonction publique attentatoire à la démocratie sociale, porteuse d’accroissement de la précarité, d’allongement de la durée du temps de travail et, plus globalement, qui remet en cause le statut général ;
– Le maintien et même l’aggravation de restructurations lourdes de danger pour les missions publiques ;
– La prolongation insupportable du gel de la valeur du point entraînant une perte de pouvoir d’achat inédite et un « rendez-vous salarial » dont la date, inconnue, semble s’éloigner chaque jour un peu plus ;
– Plus largement, des budgets 2022 qui se préparent sous le sceau de l’austérité avec, entre autres, de nouvelles suppressions d’emplois au programme.

Tout cela est absolument inacceptable !

C’est pourquoi, les organisations syndicales CGT – FA-FP – FSU - Solidaires souhaitent construire et élever le rapport de force pour qu’une tout autre politique soit mise en oeuvre.
C’est en ce sens qu’elles appellent à faire du 6 avril prochain une journée d’interventions et d’actions sous toutes les formes.
Cette étape transversale dans le processus de mobilisation sur les trois versants de la fonction publique pourra se traduire par des interpellations des élu·es et des préfets, des rassemblements, la grève partout où elle sera possible, des motions, etc.

À cette occasion, ensemble nous revendiquerons :

››› L’abrogation de la loi portant transformation de la fonction publique avec le maintien et le renforcement des commissions administratives paritaires et des comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail ;
››› La défense et le renforcement du statut général des fonctionnaires fondé sur les principes d’égalité, d’indépendance et de responsabilité garantissant aux citoyen·nes et aux usager·es la mise en oeuvre d’un service public impartial ;
››› L’octroi dans les projets de lois de finances et de financement de la Sécurité sociale 2022 des moyens budgétaires nécessaires à l’accomplissement effectif de toutes les missions dévolues aux trois versants constitutifs de la fonction publique et à la mise en oeuvre de services publics de pleine compétence et de proximité implantés sur l’ensemble du territoire y compris en Outre mer ;
››› L’arrêt des suppressions d’emplois, la mise en oeuvre d’un plan pluriannuel de recrutement de fonctionnaires, la titularisation des agents non titulaires ;
››› Le dégel immédiat de la valeur du point d’indice, la revalorisation significative des traitements, des salaires, des pensions et des retraites, l’égalité salariale entre les femmes et les hommes et la revalorisation des filières à prédominance féminine. C’est dans ce sens que nos organisations syndicales réitèrent leur demande d’ouverture d’une négociation salariale dans la fonction publique ;
››› L’égalité dans la fonction publique et la fonction publique comme outil de l’égalité au sein de la société.

D’autres choix sont nécessaires et possibles !
Partout où c’est possible, nos organisations appellent à construire aussi cette première journée de mobilisations avec les citoyen·nes, les usager·es, les associations, les élu·es, qui luttent pour la défense, la reconquête et le développement des services publics et de la fonction publique.
D’autres organisations syndicales de la fonction publique sont en cours de réflexion pour appeler les personnels à l’action. Nos organisations sont favorables à un tel élargissement et sont disponibles pour y concourir.

Le 6 avril 2021,
Ensemble, dans l’unité et la convergence la plus large, personnels de la fonction publique, citoyen·es et usager·es

AGISSONS ET PROPOSONS UN AUTRE AVENIR POUR LA FONCTION PUBLIQUE !